Ai-je le droit ou pas?

Je n'ose citer les noms à la fois de l'ex-entreprise de O qui finalement n'a pas grand chose à se reprocher dans son licenciement si ce n'est de l'avoir sans doute fait de manière trop précipitée, sans enquête préalable ou sans concertation du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail), et aussi peut-être de n'avoir pas pris en compte les preuves données par O lors de l'entretien préalable à licenciement... Bref, je n'ose citer le nom de cette entreprise ou celui des deux jeunes femmes qui ont déposé leurs attestations sur le bureau du DRH.

Ceci dit, O se rendra le 1er juillet à la conciliation des Prud'hommes. Sans vraiment d'espoir d'être réintégrer (nous ne sommes pas dans un monde de bisounours, cela va sans dire). Mais qui sait? En revanche, comme il rencontrera son avocat, j'en saurais plus dans les jours qui viennent sur ce que je peux écrire ou ne pas écrire sur ce blog.